Pierre Gramage nommé Vice-Président de l’ACE

Il rejoint une équipe composée de Nathalie ATTIAS et Ludovic Blanc (également Vice-Présidents), Catherine LECLERCQ (Secrétaire nationale), Valérie GIET (Contrôleuse de gestion) et Patrick Mouchet (Trésorier).

Sous la présidence de Yasmine DEVELLE, cette nouvelle équipe continuera à œuvrer avec passion et détermination pour défendre les valeurs fondamentales de l’ACE – Avocats, Ensemble, notamment la promotion de l’entrepreneuriat et de l’innovation, afin de contribuer à l’évolution positive de la profession d’avocat.

Félicitations à Yasmine DEVELLE pour son élection en tant que Présidente, et un grand merci à Emmanuel RASKIN pour son leadership inspirant et son engagement indéfectible tout au long de son mandat à la tête de l’ACE – Avocats, Ensemble.

L’opposabilité d’une clause limitative de responsabilité contractuelle à un tiers agissant sur le fondement de la responsabilité civile délictuelle

Cet arrêt s’inscrit dans la ligne directe des jurisprudences permettant aux tiers à un contrat d’invoquer un manquement contractuel sur le fondement de la responsabilité délictuelle, pour réparer le dommage subi du fait de ce manquement ; mais il permet désormais de rassurer les parties à un contrat, sur l’étendue de leur responsabilité vis-à-vis des tiers.

L’action d’un tiers qui subit un dommage résultant d’un manquement contractuel, engagée contre un cocontractant sur le fondement de la responsabilité délictuelle

La jurisprudence antérieure considérait déjà que le tiers pouvait se prévaloir d’un manquement contractuel pour engager la responsabilité délictuelle d’un cocontractant, si ce manquement lui a causé un dommage.

Par dérogation au principe de l’effet relatif des contrats, selon lequel « le contrat ne crée d’obligations qu’entre les parties » et que « les tiers ne peuvent ni demander l’exécution du contrat ni se voir contraints de l’exécuter » (article 1199 du code civil), la Cour de cassation, réunie en Assemblée plénière, avait considéré à l’occasion du désormais célèbre arrêt Boot shop (Cass., ass. plén., 6 oct. 2006, n°05-13.255), que « le tiers à un contrat peut invoquer, sur le fondement de la responsabilité délictuelle, un manquement contractuel dès lors que ce manquement lui a causé un dommage ». Cette solution fût réitérée dans un récent arrêt Bois Rouge (Cass., ass. plén., 13 jan. 2020, n°17-19.963).

Dès lors, alors que les dispositions de l’article 1240 (anc. art. 1382) du code civil prévoient que la responsabilité délictuelle suppose la réunion d’un dommage, d’un lien de causalité et d’une faute, l’invocation par un tiers au contrat d’un « manquement contractuel » suffit désormais à démontrer la « faute » permettant au tiers d’obtenir réparation de ce manquement (qui lui cause un dommage) sur le fondement de la responsabilité civile extra-contractuelle.

Mais cette solution, critiquée par la doctrine, introduisait un déséquilibre entre le créancier de l’obligation et le tiers, dans la mesure où, en vertu du principe de réparation intégrale, le tiers avait alors la possibilité de réclamer la réparation de l’entier préjudice résultant d’un manquement contractuel, tandis qu’un cocontractant invoquant le même manquement sur le fondement de la responsabilité contractuelle restait, lui, limité par ses dispositions contractuelles et notamment par une clause limitative de responsabilité, à l’avantage évident du tiers au contrat.

Les « conditions et limites de la responsabilité » découlant du contrat sont opposables aux tiers pour ne pas lui conférer une position plus avantageuse que le cocontractant

Dans ce contexte, l’arrêt du 3 juillet 2024 précise que « Pour ne pas déjouer les prévisions du débiteur, qui s’est engagé en considération de l’économie générale du contrat et ne pas conférer au tiers qui invoque le contrat une position plus avantageuse que celle dont peut se prévaloir le créancier lui-même », le tiers invoquant un manquement contractuel sur le fondement de la responsabilité délictuelle « peut se voir opposer les conditions et limites de la responsabilité qui s’appliquent dans les relations entre contractants ».

Reste néanmoins une incertitude quant aux clauses contractuelles effectivement concernées par cette jurisprudence. Les « conditions et limites de la responsabilité » visent les clauses limitatives de responsabilité, mais qu’en est-il des clauses pénales ou de prévisibilité du dommage ? Une interprétation large des « conditions et limites de la responsabilité » autorisent à penser que ces clauses pourraient très probablement également être opposables aux tiers. Pourtant, les parties au contrat, selon une jurisprudence établie, ne peuvent restreindre la responsabilité délictuelle, d’ordre public, et donc prévoir à l’avance, par exemple au sein même des clauses limitatives de responsabilité, ce qui s’appliquera ou non aux tiers.

Mais qu’en est-il des clauses de compétence ou de droit applicable, dont l’inopposabilité aux tiers les placerait également dans une position plus favorable que le créancier de l’obligation ? Selon la même logique, ces dispositions devraient également être opposables aux tiers. En fait, c’est déjà le cas lorsqu’une action directe est intentée par le sous-acquéreur d’un matériel contre le vendeur initial (bien que cette action soit de nature contractuelle, même si le sous-acquéreur n’a pas signé le contrat initial). Cela peut également être le cas d’une clause d’arbitrage, dont l’effet contraignant peut être étendu à une action en responsabilité délictuelle pour négligence.

Le manquement contractuel n’est pas l’unique faute dont peut se prévaloir le tiers

La jurisprudence antérieure aux arrêts Boot Shop et Bois rouge ne refusait pas toute action à un tiers victime d’un manquement contractuel, mais exigeait que le tiers démontre l’existence d’une faute « envisagée en elle-même, indépendamment de tout point de vue contractuel » (Cass. 1ère civ., 7 nov. 1962 ; Cass. 2ème civ., 7 fév. 1962 ; Cass. 1ère civ., 23 mai 1978), entendue comme la violation d’un devoir général de prudence et de diligence « détachable du contrat » (Cass. 3ème civ., 17 oct. 1973), pour engager la responsabilité délictuelle d’une partie.

Cette jurisprudence retrouverait alors toute son importance grâce à l’arrêt du 3 juillet 2024, qui permettrait alors au tiers, sur le fondement de la responsabilité civile extra-contractuelle :

  • Soit de démontrer l’existence d’une faute « détachable » au contrat ; et de ne pas subir les dispositions contractuelles qui pourraient lui être opposées, tout en voyant son entier préjudice réparé ;
  • Soit d’invoquer un manquement contractuel ; et de prendre le risque de se voir opposer certaines clauses du contrat.

L’assistance d’Altaïr Avocats

  • Rédaction et négociation de contrats commerciaux, incluant les clauses limitatives de responsabilité ;
  • Audits de contrats, analyses des risques contractuels ;
  • Renégociation et préparation de rupture de contrats ;
  • Assistance et conseil dans le cadre de procédures contentieuses devant les autorités judiciaires, en responsabilité contractuelle ou délictuelle.

Alliance Étiquettes fait l’acquisition de l’Imprimerie Berjon

Cette acquisition stratégique renforce le positionnement d’ALLIANCE ÉTIQUETTES dans l’univers du luxe, en particulier dans les segments des parfums, des cosmétiques, et des vins & spiritueux. La spécialisation de l’Imprimerie BERJON en Taille-Douce, technique d’impression en continu de haute précision, constitue un atout majeur pour le groupe.

L’entreprise est reconnue pour sa maîtrise des techniques d’impression traditionnelles et modernes, et elle cible une clientèle prestigieuse dans les secteurs viticoles et de la parfumerie. Engagée dans une démarche de durabilité, l’Imprimerie BERJON est certifiée « Imprim’ Vert » et « FSC ».

Altaïr Avocats a accompagné ALLIANCE ÉTIQUETTES avec une équipe menée par Sébastien Péronne, associé, qui a géré la partie corporate – M&A de la transaction et des audits, avec Jeanne Mucchielli, collaboratrice. Christophe Héry, associé, et Mégane Boussereau, collaboratrice, sont intervenus sur les sujets Contrats/Distribution et IP/IT.

Dassault Système fait l’acquisition de Amcad Engineering

Fondée en 2004 par Christophe Charbonniaud, Tony Gasseling et Stéphane Dellier, Amcad Engineering s’est imposée comme un acteur de référence dans le secteur des circuits RF et micro-ondes, grâce à ses logiciels Ivcad, Vision Iqstar et Whiteboard, désormais intégrés à la marque Simulia de Dassault Systèmes.

Cette acquisition marque une nouvelle étape pour Amcad, dont l’activité logicielle a rejoint l’expertise de Dassault Systèmes en innovation industrielle, tandis que l’activité hardware restera sous la direction de ses fondateurs.

Dassault Systèmes renforce ainsi sa position dans le secteur des logiciels industriels, un domaine où son chiffre d’affaires pour l’année 2023 s’élève à 837 millions d’euros, à travers ses filiales emblématiques telles que Catia, Enovia, Simulia, Delmia, et 3DEXCITE. Au total, Dassault Systèmes a généré 5,95 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023.

Altaïr Avocats a accompagné Amcad Engineering sur ses aspects corporate avec Philippe Beauregard, associé et Jeanne Mucchielli, collaboratrice. Côté fiscal, l’équipe était composée de Damien Hautin, associé et Clémence Bauché, collaboratrice. Christophe Héry, associé, est intervenu sur les contrats et les volets IP/IT.

Côté acquéreur, Dassault Système était représenté par le Cabinet Reboul & Associés.

QL Clean France acquiert Etanchéité du Sud Ouest

Cette acquisition par QL Clean France représente l’une des 10 opérations stratégiques réalisées en  moins de 3 ans pour le groupe, illustrant ses ambitions de croissance et de consolidation de sa position  de leader européen du multiservice dans le bâtiment(build-up). A noter qu’avec ces acquisitions  successives, le groupe a vu son chiffre d’affaires dépasser les 30 millions d’euros.

En intégrant Etanchéité du Sud Ouest, QL Clean élargit non seulement son éventail de services mais  aussi sa présence géographique. Grâce à son expertise reconnue dans les solutions d’étanchéité pour  les bâtiments, Etanchéité du Sud Ouest vient enrichir le portefeuille déjà diversifié de QL Clean.

Les intervenants sur cette opération :

Philippe Beauregard,  associé, Jeanne Mucchielli et Elise Yvart, collaboratrices. Côté fiscal, l’équipe était composée de  Damien Hautin, associé et Clémence Bauché, collaboratrice. Christophe Héry, associé et Albane  Watine, collaboratrice, sont intervenus sur les sujets de droit économique.

Autres parties prenantes :

  • Acquéreur : QL Clean France, représenté par Jean Charles Lebeau et Jean-Michel Rocchi
  • Vendeur : Synercom, conseillé en M&A par Jean-Pierre Vergnault
  • Due Diligence Financière : Réalisée par BDO France, avec Guillaume Buscaglia, Antoine Klein, Clément Turban et Atbir Houari

Orus Energy réalise une levée de fonds de 2,2 millions d’euros (seed)

Orus Energy est une plateforme qui révolutionne l’interaction entre les bâtiments commerciaux et le marché de l’électricité en optimisant la flexibilité énergétique. Le logiciel développé par l’entreprise permet une gestion dynamique et intelligente de la consommation énergétique, offrant ainsi une solution alternative afin de réduire la dépendance aux énergies fossiles.

Lancée il y a moins d’un an, Orus Energy a rapidement fait preuve d’un dynamisme exceptionnel, avec plus de 1 million de mètres carrés inscrits sur sa plateforme et des déploiements dans des bâtiments phares, incluant IKEA ou encore La Poste Immobilier.

La levée de fonds a été menée par b2venture, un fonds de capital-risque européen, et Asterion, fonds à impact early-stage français, avec la participation de Ring Capital. Des investisseurs industriels comme Pierre Trémolières (Accenta.ai) et Myriam Maestroni (e5t) ont également pris part à ce tour de table.

Ces fonds seront utilisés pour accélérer le développement de nouvelles fonctionnalités et pour structurer l’équipe centrale de l’entreprise qui devrait atteindre 20 personnes d’ici la fin de 2025.

Les intervenants sur cette opération :

Altaïr Avocats a accompagné Orus Energy et ses fondateurs sur ses aspects corporate avec Alexandra Pottier, associée.

Valérie Foudriat-Fernandez rejoint Altaïr Avocats en tant qu’Associée – Corporate M&A et Capital Market

Forte de diverses expériences acquises en entreprise et en cabinet, Valérie Foudriat-Fernandez rejoint Altaïr Avocats comme Associée, et prendra en charge la création, le développement et la direction du nouveau bureau de Marseille. L’arrivée de Valérie s’accompagne de ses deux collaboratrices, Yamina Dahmani et Chuanjuan Chuang, qui travaillaient avec elle chez Racine Marseille.

Valérie Foudriat-Fernandez a débuté sa carrière en tant que juriste au sein des directions juridiques de grandes entreprises internationales cotées, puis a rejoint le Barreau de Marseille en 2013. Valérie est diplômée d’un DEA en Droit des Affaires de l’Institut de Droit des Affaires d’Aix-en-Provence (2000) et d’un DESS-DJCE de l’Université de Cergy-Pontoise (1999).

Son parcours professionnel l’a menée à intégrer Gemplus -devenu Gemalto – comme Juriste (2000-2004), avant de poursuivre chez Areva – aujourd’hui Orano – en tant que Responsable juridique/juriste projet ITER (2004-2007). Elle a par la suite rejoint Cybernetix – Groupe Technip – en qualité de Directrice juridique et membre du Comité de Direction (2007-2012).

En 2013, elle réalise un véritable virage dans sa carrière en créant son propre cabinet, HVB Partners, avant de se lancer dans une nouvelle aventure comme Associée au sein du Cabinet Racine Marseille, dirigeant ainsi le département Corporate – M&A pendant 7 ans.

Valérie est spécialisée en droit des sociétés, fusions et acquisitions, droit boursier, et droit des contrats. Elle assiste ses clients, cotés comme non-cotés, en gérant les aspects corporate et contractuels de leurs opérations, tant en France qu’à l’international. Valérie possède également des compétences spécifiques dans les secteurs de l’Énergie, de l’Oil & Gas et de l’Industrie, des axes éminemment stratégiques qui l’amène à gérer des dossiers complexes, notamment en Chine et en Afrique.

« Avec 12 ans d’expérience en entreprise, une expérience de plus de 10 ans en Cabinet et un dynamisme éprouvé en tant qu’entrepreneuse, Valérie représente pleinement les valeurs et l’esprit d’Altaïr Avocats. Ses qualités entrepreneuriales constituent des atouts précieux pour la création et la pérennisation de notre nouveau bureau à Marseille. L’orientation de son profil et son expertise toute particulière dans les secteurs de l’énergie et de l’industrie viendra élargir sans équivoque la palette d’expertise du Cabinet déjà reconnue dans les domaines de la transition énergétique, de l’impact, des biotech, de l’agro et de la pharma.” affirme Alexandra Pottier, associée d’Altaïr Avocats.

Valérie précise : « Les valeurs humaines et la technicité des associés d’Altaïr Avocats m’ont convaincue de les rejoindre. J’apprécie tout particulièrement leur approche de proximité, grâce à leur implantation en région, qui s’associe à une véritable ambition internationale. Ce double positionnement a renforcé ma décision, et je suis reconnaissante de la confiance qui m’est accordée. Je suis impatiente de contribuer au développement du Cabinet. »

L’ouverture d’un bureau à Marseille constitue un nouveau jalon d’une stratégie ambitieuse de développement à Paris et en région, et s’accompagne d’une ouverture accrue à l’international. À suivre…

France – Rupture brutale d’un contrat international

Au cours des vingt dernières années, cet article est devenu le fondement juridique régulier d’actions en réparation (jusqu’à 18 mois de marge brute et d’autres dommages) lorsqu’une relation commerciale ou un contrat prend fin (totalement ou même partiellement).

Par conséquent, tout commerçant (notamment étranger) qui contracte avec une entreprise (française) devrait essayer de ne pas être appréhendé cette règle (partie I) et, s’il ne peut pas, devra comprendre et contrôler sa mise en œuvre (partie II).


En bref :


Comment une entreprise étrangère peut-elle éviter le risque lié à la sanction d’une « rupture brutale des relations commerciales », prévue par la loi française ?

Les entreprises étrangères faisant affaire avec un partenaire français devraient :

  • conclure, dès que possible, un accord cadre écrit avec leurs fournisseurs ou clients français, même pour une relation très simple et;
  • stipuler une clause en faveur d’une juridiction étrangère (ou d’un d’arbitrage) ainsi une clause soumettant le contrat à une loi étrangère car, à défaut, elles seraient soumises aux tribunaux et lois français.

Comment une entreprise étrangère peut-elle maîtriser le risque lié à la sanction d’une « rupture brutale des relations commerciales » quand la loi française s’applique ?

Les entreprises étrangères faisant affaire avec un partenaire français devraient :

  • anticiper son application à presque tous les types de relations commerciales ou contrats, qu’ils soient écrits ou non, à durée déterminée ou non;
  • vérifier si leur relation/contrat est suffisamment longue, régulière et significative et si l’autre partie a légitimement cru en la continuation de cette relation/contrat;
  • donner un préavis écrit de résiliation ou de non-renouvellement (ou même d’une modification majeure), dont la durée tient principalement compte de la durée de la relation, indépendamment de la durée du préavis contractuel;
  • invoquer, avec prudence, la force majeure et la faute grave de la partie pour écarter la rupture brutale;
  • anticiper, en cas de préavis insuffisant, une indemnisation dont le montant est le produit de la marge mensuelle moyenne multipliée par la durée du préavis non accordé.

Pour lire l’intégralité de l’article publié sur Legalmondo, veuillez cliquer ici 

Par Christophe HERY, associé – juin 2024.

ARKEA CAPITAL (WE POSITIVE INVEST 2) et VOLNEY DÉVELOPPEMENT participent à la levée de fonds de 9 millions d’euros pour QUALIRETRAITE

Fondée en 2010, QUALIRETRAITE est un leader dans l’accompagnement sur les retraites en France, proposant une gamme complète de services allant de la vérification de carrière à l’optimisation des droits de retraite jusqu’à l’accompagnement à la liquidation des pensions. Avec une équipe de 80 professionnels répartis dans 25 bureaux nationaux, l’entreprise a vu son chiffre d’affaires doubler en 2023, atteignant près de 3 millions d’euros.

Grâce au soutien du fonds à impact WE POSITIVE INVEST 2 géré par ARKEA CAPITAL, de VOLNEY DÉVELOPPEMENT et Impact Partners, ainsi que des partenaires historiques, QUALIRETRAITE a pu réaliser une levée de fonds de 9 M€ lui permettant d’élargir son portefeuille en intégrant Factorielles et Previssima. 

QUALIRETRAITE entend ainsi se positionner comme le leader indépendant de l’accompagnement des particuliers et des professionnels dans les domaines de la retraite et de la protection sociale, en fournissant des outils et logiciels de pointe aux professionnels du secteur tels que les experts-comptables, les CGP, les notaires, les banquiers et les assureurs, tout en facilitant l’accès public à l’information.

Les intervenants sur cette opération :

Altair Avocats a conseillé ARKEA CAPITAL (WE POSITIVE INVEST 2) et VOLNEY DÉVELOPPEMENT sur les aspects corporate avec une équipe composée de Philippe Beauregard, associé, et Elise Yvart, collaboratrice.

QUALIRETRAITE était conseillé par le cabinet Arvest Avocats avec David Merlet, avocat associé.

Altaïr Avocats, partenaire engagé pour soutenir la croissance externe dans la région Sud-Ouest

Cet événement prestigieux a récompensé huit entreprises pour leur dynamisme en matière de croissance externe en Aquitaine et Occitanie en 2023 et au premier semestre 2024. Nos associés, Pierre Gramage, Sébastien Péronne et Philippe Beauregard, étaient présents pour soutenir et célébrer ces succès.

Félicitations aux lauréats : Hygie, Exosens, Talis Business School, Sellsy, EPSA, Groupe Gaïana, SERMA Group, et L’Onglerie France.

Retrouvez ici l’interview de notre associé, Sébastien Péronne aux côtés de Rémy Challe, Directeur Général de Talis Education Group, et Fiona Fauvel, Owner et CEO de DEALCOCKPIT.

Bonjour,

 

Nous vous remercions pour votre message dont nous accusons bonne réception.

Nous reviendrons vers vous dans les meilleurs délais.

 

Bien sincèrement,

Altaïr Avocats